Trois ans après sa parution aux États-Unis,
voici enfin traduit l'incroyable premier roman
de Chuck Palahniuk qui a donné lieu au
film très controversé Fight
Club, réalisé par David Fincher,
avec Brad Pitt, Edward Norton et Helena Bonham
Carter. Le livre est bien plus dérangeant,
plus cynique, plus déjanté que le
film. Il y a du Bret Easton Ellis d'American Psycho
et quelque chose de pire dans ce récit
de l'impasse, dans cette dénonciation ultime
d'un monde perdu faute de révolution. Plus
qu'un livre, c'est une expérience. Et déjà
un titre culte qui a reçu le prix de la
Pacific Northwest Booksellers Association en 1996.--
L'auteur
vu par l'editeur
Chuck Palahniuk, qui vit actuellement à
Portland, est diplômé de l'Université
de l'Oregon. Son premier roman, Fight
Club, a fait l'effet d'une bombe à
sa publication en 1996. Survivant et Monstres
invisibles, tous deux disponibles aux Éditions
Gallimard, ont depuis confirmé l'originalité
de son talent.
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Quatrième
de couverture
Laisse-moi te parler de Tyler. Tyler dit : les
choses que tu possèdes finissent toujours
par te posséder. C'est seulement après
avoir tout perdu que tu es libre de faire ce dont
tu as envie. Le Fight Club t'offre cette liberté.
Première règle du Fight Club : Tu
ne parles pas du Fight Club. Deuxième règle
du Fight Club : Tu ne parles bas du Fight Club.
Tyler dit que chercher à s'améliorer,
c'est rien que de la branlette. Tyler dit que
l'autodestruction est sans doute la réponse.
Métaphore acide et jubilatoire d'un monde
au bord du chaos, perdu faute de révolution,
Fight Club a été porté à
l'écran en 1999 par David Fincher, le réalisateur
de Seven et Alien 3. Le DVD
du film est édité par Fox Pathé
Europa.
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